Rosalie

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SOLEIL ROUGE rosalie

Parole de clown

« J’ai parfois plus d’enjeu à faire rire un enfant fatigué dans sa chambre que 500 personnes venues au spectacle. »

Pourquoi “Rosalie” ?

Tout simplement parce que… c’est joli !

Spécialité :

Une énergie débordante, la tête en bas, les pieds dans les étoiles.
Rosalie grimpe sur les portes, se contorsionne, joue à cache-cache, invente mille bêtises et parfois, on la retrouve coincée dans un placard… Mais derrière son humour malicieux, elle sait aussi donner de doux câlins quand le cœur en a besoin.

Elle joue aussi du concertina et du tuba, chante à pleins poumons comme avec tendresse.
Dans son sac se cache souvent « Boulette », une marionnette qui fait briller les yeux des enfants. Et bien sûr, elle adore proposer un tour de magie… surtout quand la maladresse vient y ajouter un grain de folie !

Parcours :

Rosalie fait partie de l’équipe Soleil Rouge depuis 19 ans. Elle vient du monde du cirque, a été enseignante au Centre National des Arts du Cirque, et a écrit plusieurs solos de clown joués dans toute la France : « Aie love you… je même pas mal », « More Aura », « Quarantaines ».

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Elle collabore aussi avec des compagnies comme les Clous, Inextremiste ou Galapiat Cirque, avec lesquelles elle a tourné à l’international. Elle enseigne le clown dans des structures telles que la Fabrique Jaspir.

Malgré une carrière reconnue, l’hôpital reste pour elle un terrain essentiel : « J’ai parfois plus d’enjeu à faire rire un enfant fatigué dans sa chambre que 500 personnes venues au spectacle. Le travail à l’hôpital est nécessaire, c’est une mission précieuse que d’amener rires et vie là où elle se fissure. »

Un souvenir à l'hôpital​

Rosalie en garde des centaines de souvenirs à l’hôpital, joyeux, émouvants ou bouleversants.
Elle se souvient de cette étude en oncologie : dans les souvenirs des enfants hospitalisés en chambre stérile, revenaient trois choses : la difficulté d’être enfants hospitalisés en chambre stérile, la culpabilité d’avoir été malades… et « comme c’était bien les clowns ».


Elle se souvient de cet enfant qui refusait un soin difficile. Les clowns sont entrés dans la chambre, ont commencé à jouer, à le faire rire… si bien qu’au moment de leur sortie, l’enfant s’est tourné vers l’infirmière en s’exclamant : « Mais tu ne m’as pas fait mon soin ! »


Un exemple parmi tant d’autres de cette complicité entre clowns et soignants, où le jeu devient un précieux allié. Elle n’oublie pas non plus cette adolescente, hospitalisée après une tentative de suicide, restée muette depuis son arrivée. Les clowns improvisent un tour de magie, se prennent les pieds dans le tapis et cherchent désespérément le mot magique… C’est elle qui finit par le souffler : « Abracadabra ! » un joli mot pour sortir du silence.


Et puis il y a tous ces instants accumulés : les cris d’enfants courant vers eux « les clowns, les clowns ! », les batailles d’eau, les câlins, les dessins, les mercis… Les rires partagés un soir de Noël ou de Nouvel An, quand soignants et familles s’étonnent : « Vous êtes là, même aujourd’hui ? »

et les autres clowns...​

Chaque clown de l’équipe apporte sa personnalité, son univers artistique et sa sensibilité pour créer,
dans chaque rencontre, un moment unique.

25 ans d’humour, travaillé au corps… et avec cœur​

Depuis 2000, l’association, indépendante et basée en Auvergne-Rhône-Alpes, intervient chaque semaine,
toute l’année, au CHU Grenoble Alpes.
Avec 120 interventions par semaine dans 20 services pédiatriques, chaque année,
plus de 10 000 enfants hospitalisés croisent leur route… et leur nez rouge.

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